Titre : | Oraisons | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | BOSSUET, Auteur | Editeur : | VARIETES | Importance : | 321 pages | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | La mort christianisme catholicisme religion. | Index. décimale : | 230 Th?ologie doctrinale chr?tienne - (dogme) | Résumé : | Bossuet a composé sa première oraison funèbre à vingt-huit ans (1655). Il y en a eu dix, l'auteur a publié les six dernières, consacrées à de grands personnages, en 1689, à l'époque du plein épanouissement de sa personnalité. Ce genre a connu un immense développement (et n'est pas complètement mort). Il a ses règles: l'orchestration du deuil, expression de la douleur et déploration, en un temps où on aimait les émotions collectives. Puis l'éloge du défunt, cher à l'orateur comme à son public et la volonté d'instruire les fidèles dans l'art de bien mourir; enfin, des questions d'actualité, parfois brûlantes. Si Bossuet triomphe dans ce genre, ce n'est pas seulement par la magie du style, mais aussi parce qu'il a affaire à des personnages de premier plan, qu'il a bien connus; sa douleur est personnelle; il ne cache pas son émotion. La mort, selon Bossuet, démasque tous les vices: ce qui compte, c'est l'immortalité. |
Oraisons [texte imprimé] / BOSSUET, Auteur . - [S.l.] : VARIETES, [s.d.] . - 321 pages. Langues : Français ( fre) Mots-clés : | La mort christianisme catholicisme religion. | Index. décimale : | 230 Th?ologie doctrinale chr?tienne - (dogme) | Résumé : | Bossuet a composé sa première oraison funèbre à vingt-huit ans (1655). Il y en a eu dix, l'auteur a publié les six dernières, consacrées à de grands personnages, en 1689, à l'époque du plein épanouissement de sa personnalité. Ce genre a connu un immense développement (et n'est pas complètement mort). Il a ses règles: l'orchestration du deuil, expression de la douleur et déploration, en un temps où on aimait les émotions collectives. Puis l'éloge du défunt, cher à l'orateur comme à son public et la volonté d'instruire les fidèles dans l'art de bien mourir; enfin, des questions d'actualité, parfois brûlantes. Si Bossuet triomphe dans ce genre, ce n'est pas seulement par la magie du style, mais aussi parce qu'il a affaire à des personnages de premier plan, qu'il a bien connus; sa douleur est personnelle; il ne cache pas son émotion. La mort, selon Bossuet, démasque tous les vices: ce qui compte, c'est l'immortalité. |
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